Le banc n'était qu'un endroit où s'asseoir. Il est devenu le centre du monde.
Souvent, très souvent, le narrateur s'assoit sur un banc et ne fait rien. Il découvre dans cette oisiveté salutaire un chemin vers la liberté et une paix intérieure jusqu'alors inexplorée<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="1">1</sup>. Le temps s'écoule, doux et contemplatif, le délivrant enfin de ses pensées les plus morbides<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="2">2</sup>.
Pourtant, cette tranquillité acquise devient un étrange aimant pour l'absurde. Bientôt, le banc se peuple d'une galerie d'hurluberlus<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="3">3</sup>: un homme obsédé par le malheur d'autrui, un autre cherchant à se libérer de tous les besoins du corps et de l'esprit, jusqu'au besoin de vivre. Sans le vouloir, le narrateur devient le « psychiatre bancal » <sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="4">4</sup> de ces âmes égarées, écoutant leurs histoires les plus extravagantes.
Mais lorsque ces rencontres commencent à faire vaciller la frontière entre sa réalité et le surréel, il est interpellé par un mystérieux inconnu : « La question n'est-elle pas : qu'est-ce que toi tu veux ? »<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="5">5</sup>.
Plongez dans un récit philosophique et étrange, qui explore le luxe de l'ennui, le poids du besoin et le vertige d'une quête qui pourrait bien être la vôtre.
Description:
Le banc n'était qu'un endroit où s'asseoir. Il est devenu le centre du monde.
Souvent, très souvent, le narrateur s'assoit sur un banc et ne fait rien. Il découvre dans cette oisiveté salutaire un chemin vers la liberté et une paix intérieure jusqu'alors inexplorée<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="1">1</sup>. Le temps s'écoule, doux et contemplatif, le délivrant enfin de ses pensées les plus morbides<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="2">2</sup>.
Pourtant, cette tranquillité acquise devient un étrange aimant pour l'absurde. Bientôt, le banc se peuple d'une galerie d'hurluberlus<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="3">3</sup>: un homme obsédé par le malheur d'autrui, un autre cherchant à se libérer de tous les besoins du corps et de l'esprit, jusqu'au besoin de vivre. Sans le vouloir, le narrateur devient le « psychiatre bancal » <sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="4">4</sup> de ces âmes égarées, écoutant leurs histoires les plus extravagantes.
Mais lorsque ces rencontres commencent à faire vaciller la frontière entre sa réalité et le surréel, il est interpellé par un mystérieux inconnu : « La question n'est-elle pas : qu'est-ce que toi tu veux ? »<sup class="superscript" style="line-height: 1.15 !important; margin-top: 0px !important; font-size: 16px !important;" data-turn-source-index="5">5</sup>.
Plongez dans un récit philosophique et étrange, qui explore le luxe de l'ennui, le poids du besoin et le vertige d'une quête qui pourrait bien être la vôtre.